Ruinés, les Grecs se chauffent en brûlant n'importe quoi dans des cheminées rarement ramonées.
L'atmosphère est de plus en plus pesante à Athènes. Cela n'est pas seulement dû au climat ambiant de la crise, qui continue pourtant de s'alourdir, mais au ciel de la capitale grecque. Depuis quelques jours, celui-ci a perdu sa légendaire luminosité d'hiver.Un brouillard lourd et épais, formé de monoxyde de carbone et d'oxyde d'azote, coiffe de manière inquiétante la cuvette de la ville. Les experts du ministère de l'Environnement affirment que la limite des 50 microgrammes par mètre cube d'air a été dépassée plus de 35 fois ces derniers jours. Avec la vague de froid hivernal, la concentration de polluants s'élève à 170 microgrammes/m3. Il faut y ajouter une odeur permanente de brûlé, qui agresse les narines dès la nuit tombée.
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